Indemnité de caisse et de gestion
Instituée par l’Arrêté N°99-0892-MF-SG du 18 mai 1999, elle est égale à 10% du salaire de base pour les employés manipulant les valeurs ou des matières impliquant une responsabilité pécuniaire.
Instituée par l’Arrêté N°99-0892-MF-SG du 18 mai 1999, elle est égale à 10% du salaire de base pour les employés manipulant les valeurs ou des matières impliquant une responsabilité pécuniaire.
Indemnité de transport
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle est accordée à tout le personnel pour 10% du salaire de base aux travailleurs ne bénéficiant pas de moyens de transport fourni par l’employeur en raison de l’éloignement du lieu de travail de leur domicile.
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle est accordée à tout le personnel pour 10% du salaire de base aux travailleurs ne bénéficiant pas de moyens de transport fourni par l’employeur en raison de l’éloignement du lieu de travail de leur domicile.
Prime de travail dans les conditions particulières
Instituée par l’Arrêté N°99-0892-MF-SG du 18 mai 1999, elle est octroyée aux employés travaillant sur le terrain. Son montant est de 20% du salaire de base de la catégorie.
Instituée par l’Arrêté N°99-0892-MF-SG du 18 mai 1999, elle est octroyée aux employés travaillant sur le terrain. Son montant est de 20% du salaire de base de la catégorie.
Prime de risque
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle est accordée à tout le personnel pour 10% du salaire de base.
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle est accordée à tout le personnel pour 10% du salaire de base.
Indemnité de monture personnelle
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle peut est accordée à tout le personnel sur une base forfaitaire allant de 20 000 à 100 000 Fcfa selon la catégorie.
Instituée par l’arrêté N°99-0892-SG-MF portant Modalités de Déduction de l’Assiette Imposable des Primes et Indemnités versées en complément du salaire, elle peut est accordée à tout le personnel sur une base forfaitaire allant de 20 000 à 100 000 Fcfa selon la catégorie.
Le CDD pour remplacer un salarié absent : les règles à respecter
Le CDD pour remplacement d’un salarié absent est obligatoirement un contrat écrit où doivent figurer : la définition précise du motif de recours, c'est-à-dire le remplacement d'un salarié absent ou dont le contrat de travail est suspendu. Vous préciserez aussi la cause de l'absence ou de la suspension ; le nom et la qualification professionnelle du salarié remplacé, ainsi que la désignation du poste du remplaçant ; la durée du CDD (de date à date ou durée minimale si le contrat n’a pas de terme précis) et éventuellement la clause de renouvellement ; la durée de la période d’essai si elle est prévue ; l’intitulé de convention collective applicable ; le montant de la rémunération et ses différentes composantes. Certaines de ces mentions obligatoires sont essentielles. Elles doivent permettre de savoir si le CDD n’a pas pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise. L’écrit est requis aussi bien pour le CDD initial que pour son éventuel renouvellement.
Le CDD pour remplacement d’un salarié absent est obligatoirement un contrat écrit où doivent figurer :
- la définition précise du motif de recours, c'est-à-dire le remplacement d'un salarié absent ou dont le contrat de travail est suspendu. Vous préciserez aussi la cause de l'absence ou de la suspension ;
- le nom et la qualification professionnelle du salarié remplacé, ainsi que la désignation du poste du remplaçant ;
- la durée du CDD (de date à date ou durée minimale si le contrat n’a pas de terme précis) et éventuellement la clause de renouvellement ;
- la durée de la période d’essai si elle est prévue ;
- l’intitulé de convention collective applicable ;
- le montant de la rémunération et ses différentes composantes.
Certaines de ces mentions obligatoires sont essentielles. Elles doivent permettre de savoir si le CDD n’a pas pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise.
L’écrit est requis aussi bien pour le CDD initial que pour son éventuel renouvellement.